Pleins feux sur Patrick Verriet, nouveau président du comité des Jeunes professionnels du marché secondaire

Le nouveau président du comité des jeunes professionnels du marché secondaire (JPMS), Patrick Verriet, a toujours comparé le marché secondaire à un oignon : « Il faut enlever toutes les peaux de l’oignon pour voir ce qu’on peut en faire. »

Tout comme l’oignon a plusieurs couches de peau, Patrick a plus d’une seule corde à son arc. Directeur des comptes principaux chez MANN+HUMMEL Filtration Technology, il a plus de 18 ans d’expérience en leadership, en vente et en service à la clientèle. Son nouveau rôle auprès du comité des JPMS l’amène à tenir celui de mentor auprès des jeunes professionnels du marché secondaire, mais il n’en est pas à ses premières armes en ce domaine, puisqu’il a déjà accompagné de futurs dirigeants canadiens dans le cadre du Programme canadien des cadets, ayant passé 14 ans au service de son pays comme réserviste de l’Armée canadienne.

Il est membre de l’Association canadienne des professionnels de la vente (ACPV) et de l’Association des industries de l’automobile du Canada, en plus de faire partie du comité des JPMS depuis 2017.

Père de deux garçons que lui et sa femme ont élevés dans la région ontarienne du Niagara, Patrick est un grand amateur de cyclisme qui aime redonner à sa communauté. Malgré un emploi du temps déjà bien chargé, il a tout de même trouvé le temps de suivre avec succès le programme de Leadership 2.0 de la Northwood University qui lui a décerné son diplôme et le titre de professionnel du marché secondaire de l’automobile en mars dernier.

Oui, il est indubitable que Patrick est un homme déterminé et dévoué. C’est d’ailleurs avec cette détermination et ce dévouement qu’il compte mener à terme son mandat de président du comité des JPMS.

Le chemin vers le marché secondaire

Bien qu’il soit né dans une famille évoluant au sein du marché secondaire de l’automobile — son père a occupé divers postes chez Wix Filters avant de prendre sa retraite après 34 ans de loyaux services — Patrick n’avait pas l’intention, de prime abord, de travailler dans l’industrie de l’automobile. Il a étudié dans le domaine de la protection pour la lutte contre les incendies industriels avant de décrocher un premier emploi en vente d’équipement de sécurité chez Acklands-Grainger.

« Mon père a vraiment bien réussi dans l’industrie du marché secondaire, mais il n’était pas du genre à dire : “voilà ce que tu feras quand tu seras grand”. »

Pourtant, lorsqu’un poste est devenu vacant chez MANN+HUMMEL, une société parente de Wix, son père lui a suggéré de tenter sa chance. « Il m’a fallu six ou sept mois avant que je me dise : “bon, d’accord, voyons jusqu’où me mènera cette voie”. » C’était en 2016, et aujourd’hui, Patrick travaille toujours chez MANN+HUMMEL.

« C’est sans doute la meilleure décision que j’aurai prise dans ma carrière. J’aime vraiment mon travail. »

Attirer des gens de talents dans l’industrie

Malgré le fait que sa famille a travaillé dans le marché secondaire, Patrick considère son entrée dans cette industrie un peu comme un retour sur son chemin après avoir fait un petit détour. En effet, car même s’il était au courant des perspectives de carrière qu’offrait l’industrie, Patrick, comme de nombreux jeunes professionnels, ne s’y intéressait pas du tout. Voilà une tendance qu’il aimerait bien changer.

« Pourquoi ne s’intéresserait-on pas à cette industrie, qui représente pourtant une part énorme de l’économie canadienne? »

Lorsqu’il s’agit d’attirer les jeunes gens de talent, le marché secondaire souffre d’un manque de visibilité. Patrick, quant à lui, voit la promotion des chemins de carrière potentiels auprès de la nouvelle génération de diplômés comme l’une des principales tâches du comité des JPMS.

« Il est important d’attirer et de retenir des gens de talent dans tous les secteurs du marché. »

S’appuyant sur le succès de la Journée des étudiants du marché secondaire au Georgian College, Patrick veut accroître le rayon d’action du comité des JPMS de sorte qu’il atteigne d’autres écoles à l’échelle du pays. La communication réussie du message du comité des JPMS à la Southern Alberta Institute of Technology suscite en lui un grand enthousiasme, et il souhaite transmettre ce message à d’autres établissements. « J’aimerais qu’il y en ait de plus en plus. Combien d’établissements y a-t-il encore à découvrir? »

Accroître le rayon d’action du comité des JPMS afin de toucher les étudiants de partout au pays et élargir la portée du comité lui-même pour atteindre un auditoire national plus vaste vont de pair.

« Traditionnellement, du moins c’était encore le cas lorsque je suis arrivé au comité, tout était surtout centré sur l’Ontario et la RGT. Nous faisons donc tout ce que nous pouvons pour mener le comité à l’échelle nationale. Et nous progressons vraiment bien. C’est donc un dossier que j’aimerais continuer de faire avancer pour le comité. »

Par ailleurs, Patrick ne tarit pas d’éloges à l’égard de la présidente sortante, Kathryn Jones, qui a réussi à accroître le rayon d’action du comité, et ce, en dépit des difficultés liées aux restrictions de voyage durant la pandémie de COVID19. « Elle n’a vraiment pas eu la tâche facile parce que, durant l’ensemble de son mandat à la présidence, tout se passait en mode virtuel; elle a été tout simplement formidable, car elle a réussi à maintenir l’engagement des membres du comité tout en faisant avancer les choses. »

Dans une certaine mesure, le mode virtuel a peut-être influencé l’avancement du comité vers l’échelle nationale, car il a contribué à ce que tous soient sur un même pied d’égalité, peu importe où ils se trouvaient dans une ville ou au pays. Maintenant que les réunions en présentiel sont de retour, Patrick pense que le rapport qui s’est établi durant les réunions virtuelles ne peut que se traduire par un engagement encore plus solide en personne. Il espère assister à de plus en plus de rencontres fructueuses, comme celle qui a eu lieu dans le cadre de la récente Assemblée générale annuelle de l’AIA Canada.

Les joueurs intermédiaires

Au cours des deux dernières années, l’adaptation des membres du comité au mode virtuel illustre parfaitement la souplesse et l’aisance dont font preuve les jeunes professionnels du marché secondaire avec les nouvelles technologies, et qui profitent à l’industrie. Toutefois, Patrick insiste sur le fait que la précédente génération a encore beaucoup à partager.

Quand Patrick parle de l’immense bagage de connaissances et d’expérience qu’il y a actuellement au sein du marché secondaire, il pense à son père. « Certaines personnes ont travaillé dans l’industrie de très, très nombreuses années; mon père, par exemple, a passé 34 ans à l’emploi de la même société. On ne voit plus ce genre de chose de nos jours. Je crois qu’il est important, dans une perspective de mentorat, d’essayer de retenir certaines leçons. »

Patrick considère que c’est là l’une des principales tâches du comité des JPMS, c’est-à-dire de jouer un rôle intermédiaire entre l’ancienne et la nouvelle génération. « Cette double approche nous pose un défi particulier : il nous faut attirer de nouveaux jeunes talents dans l’industrie tout en stimulant l’engagement de gens d’expérience du marché secondaire qui sont près de la retraite. En d’autres termes, les jeunes doivent s’assoir et intégrer un maximum de connaissances et de savoir-faire auprès des plus vieux afin d’assurer la continuité. »

Établir une continuité au sein du comité

Patrick est persuadé que le comité, à l’instar de l’industrie, doit établir une continuité dans sa structure même. Étant donné la croissance et l’essor de l’effectif, il pense que le moment est venu de réévaluer la gouvernance du comité, qu’il compare à la planification de la relève.

« Pour l’instant, nous avons choisi un président, mais c’est tout. Il serait bien qu’il y ait quelqu’un pour veiller à la continuité du comité et du leadership. Le comité aurait ainsi une structure plus solide, une pierre d’assise suffisamment robuste pour nous permettre de poursuivre notre croissance.

Planifier pour l’avenir

Ce n’est une surprise pour personne, Patrick est une personne axée sur l’avenir, et ce, bien au-delà de son mandat à la présidence du comité des JPMS. Le mentorat, que ce soit auprès de cadets, par l’entremise des forces armées, ou de professionnels qui débutent dans l’industrie, consiste à voir la perspective dans son ensemble et travailler en vue de l’atteinte d’un objectif commun. Patrick considère qu’au comité des JPMS, l’objectif commun est de bâtir un marché secondaire fort et dynamique que les jeunes professionnels envisageraient comme principal choix de carrière.

“Je pense que le comité des JPMS est le groupe le plus professionnel de gens passionnés avec lesquels j’ai eu le privilège de travailler. Et maintenant plus que jamais, je pense que nous allons nous faire les promoteurs de l’industrie pour que celle-ci suscite l’intérêt des gens. J’en reviens donc à mon analogie de l’oignon : nous allons enlever d’autres couches pour que les gens comprennent ce qu’est réellement le marché secondaire. Nous espérons qu’ainsi, nous réussirons à attirer la prochaine génération de jeunes talents au sein du marché secondaire de l’automobile.”

Twitter
LinkedIn
Facebook

Park N Fly Programme Association AIA Canada

Mode de fonctionnement du programme

  • Le membre commence par sélectionner sa ville de départ dans le menu déroulant
    • Choisir le service de voiturier ou le libre-service s’il y a lieu
    • Entrer son vol de départ et la date de retour
    • Cliquer sur « trouver votre tarif »
    • Les tarifs sont automatiquement téléchargés
    • Imprimer un exemplaire du coupon
  • À la sortie du stationnement
    • Scanner le coupon imprimé Park’N Fly à la borne de paiement du stationnement libre-service
  • Si le membre utilise un service de voiturier
    • Remettre un exemplaire du coupon imprimé à l’agent à la borne de sortie ou lui donner le code de rabais 1120313. Une fois que l’agent a entré le code, le tarif est automatiquement ajouté au programme de tarifs préférentiels de l’AIA Canada.
  • Code de rabais 1120313
    • À la borne de sortie, le membre n’a qu’à scanner son coupon préimprimé par l’entremise du voiturier ou à la borne de paiement du stationnement libre-service.
    • À la sortie du stationnement
    • Scanner le coupon Park’N Fly
    • En cas de problèmes
      • Entrer manuellement le code 1120313 à la borne de paiement et le tarif est automatiquement appliqué.
    • Choisir un mode de paiement
      • Carte de crédit
      • Carte de débit